rockin’glâne – promasens (fr) – 30 août 2025

Ça devait être un week-end de repos, c’est sans compter sur votre photographe ! Nous faisons une petite virée en terre fribourgeoise et nous voilà à Promasens, pour la 6ème édition du Rockin’Glâne Festival. Le site est super, les concerts à l’abri de la pluie, nous sommes prêts pour une super soirée.

17h, ça commence avec des artistes du coin, Drop by Drop originaires de Bulle. Le duo de rock alternatif bien bien pêchu, est un jeune groupe guitare, batterie/voix. On découvre et on kiffe dès les premières mesures. Une petite discussion en off fait qu’ils se verraient bien faire plus de scène. C’est ce qu’on leur souhaite !

18h30, on continue avec du punk-rock et Athlete. Le quatuor Suisse est à fond dans les sonorités punk et ne manque pas d’énergie, et quand le reggae s’invite, le temps de quelques mesures … c’est top et c’est ça qu’on aime !

20h30, c’est toujours un plaisir de retrouver les neuchâtelois, Walldown. Y’a des changements dans le groupe, de cinq, ils ne sont plus que quatre. Le bassiste et le batteur ont laissé leur place à d’autres artistes, de plus, la chanteuse a pris la guitare. Ce qui n’a pas changé, heureusement, c’est leur rock, leur punch et le plaisir qu’ils nous donnent à les écouter. On vous aime les copains !

22h, place aux lausannois Parsimony et leur mordern rock. Le groupe mélange le metalcore et l’electro, avec une chanteuse très charismatique, à la voix puissante et électrisante. « Est-ce que vous êtes prêts à bouger ? » Très belle énergie, partagée avec les nombreux fans présents devant la scène.

23h30, dernier groupe de la soirée et du festival avec Worry Blast et leur hard rock accrocheur. Là aussi, un changement notable… le guitariste. Ça transpire le rock, ça partage l’envie de jouer et le public remue tête, épaules et hanches. Comme c’est bon de les revoir.

Ce festival, que nous avons découvert, nous a accueillis les bras ouverts. Nous les remercions sincèrement et nous souhaitons une longue vie au Rockin’Glâne que nous retrouverons, sûrement l’année prochaine.

Texte :             Laurence Apothéloz

Photos :          Jacques Apothéloz