Jour 6
Pour cause de fête d’anniversaire (100 ans de la tante du photographe), on ne pouvait pas rater ça, nous arrivons plus tard au festival, donc moins de marche et moins de concerts !
Grande Scène
20h45, on est prêt à le voir … Gim’s démarre son concert. Il n’y a plus le « Maître », mais il est toujours la référence du rap français ! On lui a dit « ce soir p’tite soirée cabaret, alors j’ai mis le costume mais je vais avoir chaud ! « Son rap est très mélodieux, et quand il pousse sa voix, elle est vraiment « Bella ! » « Est-ce que je t’aime », et ben, à entendre le public, il n’y aucun doute ! Et ça, c’est le rap qu’on aime !
Le Dôme
21h30, « Festivaliers de tous les mondes, bienvenue et découvrons » Gipsy Groove. Eux c’est du ska, du reggae, du jazz, entre autres, qu’ils enchaînent pour nous faire danser, sur du folklore roumain. Superbe énergie !
Scène Vega
17h30, Paléo … Paléoooooo ! C’est le dernier concert sur Vega avec Sofian Pamart. Virtuose derrière son piano, il s’inspire du classique et du jazz pour faire de sa musique, de la musique ! Un artiste bien habité, que nous découvrons dans son monde bien à lui !
Après le show des drones, qui, cette année, a remplacé les feux d’artifices, nous sommes impatients de voir Mika et ses tenues hautes en couleurs. Juste pour nous contredire, ce soir, c’est costume blanc et brodé… Paléo dans le dos ! L’artiste vient pour la troisième fois à Paléo, mais pour nous, c’est une première, et quelle première ! Cet artiste est un véritable showman, il donne de sa personne, avec une incroyable générosité pour son public. Magnifique concert, qui a même ému notre photographe.
Voilà, après six jours intensifs de concerts (53 immortalisés au total), de musique et de marche (près de 50km), le Paléo Festival, est terminé. Nous tenons à remercier le comité d’organisation pour leur accueil, le service presse qui a fait son possible pour obtenir toutes les accréditations demandées, et pour que nous puissions travailler dans d’excellentes conditions. Enfin, merci au service de sécurité pour son travail, ainsi qu’à tous les bénévoles, surtout aux personnes en vert, marqués dans le dos aspirator. Grâce à eux, nous avons pu faire pipi dans le propre ! Bref MERCI !!!
Vivement la 48ème édition.
Texte Laurence Apothéloz
Photo Jacques Apothéloz
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