rock the lakes – vallamant (vd) – 18 août 2023

Après deux soirées au Venoge Festival, On Stage Music-Live enchaîne pour le week-end, à Vallamand, au bord du Lac de Morat, avec la deuxième édition de Rock the Lakes, festival metal de tous genres. Le site et le panorama est grandiose.  Bienvenue en Suisse !

Nous découvrons les lieux pour la première fois. Passage obligé à la tente presse pour dire bonjour à la team de photographe, et la première soirée peu démarrer.

Jour 1

Dreamshade, qui pour notre photographe n’est pas une découverte, est groupe de metalcore tessinois. Entre voix gutturale et voix clair, le groupe envoi du lourd.  Bel échange avec le public déjà présent et connaisseur de ce métal mené d’une poigne de fer par des musiciens de haut vol.

Blind Channel, groupe finlandais. Ils ont représenté l’Eurovision pour leur pays et ils se définissent comme de « la pop violente » Leur métal est très mélodieux. En peu de temps ils enchainent les opus. C’est frais et ça passe bien par cette chaleur.

Deez Nuts, groupe australien influencé par le punk hardcore et le hip hop. Le chanteur « crache » un peu trop son texte.

Bleed From Within, band de metalcore, de death metal mélodique et de groove metal … tout ça à l’écossaise !

Korpiklaani, groupe de heavymetal, au folklore finlandais. Leurs morceaux parlent de légendes et leur musique enflamme le public ! Ça fait de ce moment une belle découverte.

Sepultura, groupe brésilien de thrash metal. La voix du chanteur sort d’outre-tombe (Sepultura) et la batterie, omniprésente, est la pièce centrale du concert ! Le rythme est lourd et soutenu !

Heaven Shall Burn, groupe allemand de death metal mélodique. Leur combat, à travers leurs textes et leur musique, c’est l’anti-racisme. La tête d’affiche de la soirée enflamme la scène dès la première chanson. C’est chaud à Allemande !

Samael, groupe valaisan de black metal industriel. L’atmosphère, fumée et light white est à l’image de leur musique … sombre !

Ainsi se termine cette première soirée, où toutes les heures, avec 1/2 heures de changement de scène, les groupes se sont succédés … tout ça … sans prendre une minute de retard … bravo !

Il est tard … à demain.

Texte   Laurence Apothéloz

Photo  Jacques Apothéloz